l’Olivier est né d’un pari, ou plus exactement de plusieurs paris. Le premier, c’est
celui que firent les dirigeants du Seuil lorsqu’ils me proposèrent de devenir leur
associé, afin de créer ensemble une nouvelle maison d’édition. Le deuxième – le mien –
reposait sur une confiance aussi irrationnelle qu’inébranlable dans ma capacité à
publier des écrivains dignes de ce nom.
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